Nouveau Mitsubishi Outlander (2025) : premières impressions à bord du SUV hybride rechargeable

Après quelques années d'absence, l'Outlander fait son grand retour en France. A-t-il profité au mieux de cette pause pour améliorer la formule qui avait tant séduit les Français il y a quelques années ? Premiers éléments de réponse dans cet article. Si la Lancer Evo a, à la manière de l'Impreza chez Subaru, été un beau vecteur d'image pour Mitsubishi, c'est surtout l'Outlander qui lui a permis de se faire une belle place sur le marché français. Pas les deux premières générations, mais la troisième lancée en 2013 et proposée rapidement en hybride rechargeable, une proposition alors rare. Au total, ce sont 9 000 exemplaires qui ont été écoulés sur le marché français, dont 4 000 unités sur la seule année 2019. De retour après une longue absence, il aura la lourde tâche de refaire parler de lui. A-t-il les arguments nécessaires pour réussir son pari ? Voir aussi - notre page dédiée au SUV hybride rechargeable Peut mieux faire sur les aspects pratiques Commençons tout de suite par évoquer ce qui fâche : l'espace habitable n'est pas à la hauteur de son encombrement. Avec ses 4,72 m de long (2 cm de plus que l'ancien), l'Outlander dernier cru est un beau bébé. S'il est impressionnant en photo, il l'est encore plus en vrai. Il affronte des SUV connus pour être encombrants comme le Honda CR-V (4,71 m) ou le Mazda CX-60 (4,75 m) et peut même être mis en opposition avec des modèles 7 places comme le Peugeot 5008 (4,79 m) ou le Volkswagen Tayron (4,80 m).