Pourquoi il est si difficile de définir un intérêt général de l’automobile européenne ?

L’UE comme l’ACEA paraissent très mal à l’aise avec la revendication portée par T. Breton appelant à "sortir de la naïveté", à aider assez massivement l’industrie à faire face à la transition et se protéger. Là où les observateurs s’accordent à voir une claire remise en question de l’idée de "mondialisation heureuse", une vision de l’Europe continuant de ne jurer que par le strict respect des règles de l’OMC perdure et entend continuer de poser les bases de la définition de l’intérêt général. Au vu des chiffres, difficile de ne pas voir là une conception très allemande.